Nous le savons tous : un chiot, c’est plein d’énergie. C’est comme un enfant, il a besoin de dépenser toute cette énergie, et ce n’est pas une simple promenade qui va le dépenser. La solution ? Le jeu.
Les premières expériences ludiques de votre jeune chien se font lors de sa période de socialisation avec sa fratrie. Et cela dure jusqu’à son adolescence. À un an, votre chien a beau avoir pratiquement sa taille adulte, il est encore bien jeune ! Plusieurs heures QUO-TI-DIENNES de jeu lui sont nécessaires, que ce soit avec d’autres chiens, ses propriétaires ou toutes autres personnes.
Attention cependant à prendre en compte l’âge du chien, une promenade ou toutes autres activités trop longues ou trop épuisantes risquent d’endommager les articulations de ce dernier.
Le jeu permet de construire tous les éléments utiles à sa socialité, à son épanouissement et permet même de réduire les risques de développer certaines formes d’agressivité. Comme pour les enfants, ils apprennent beaucoup mieux si on introduit l’apprentissage dans les jeux.
Le jeu doit rester un partage de moments d’émotions agréables entre un chien et son maître, ce qui permet de développer une confiance mutuelle et une belle complicité.
Le respect et la complicité entre un humain et un chien se fait également sur l’acceptation qu’un chien n’est pas un humain : certains maîtres ont tendance à l’oublier. Malgré la relation du chien avec son maître, il aura toujours son langage canin, sa perception du monde et des besoins différents des vôtres, qu’il vous faut assurer en tant que responsable légal.
C’est durant ses premières années qu’une grande partie du développement du chien s’effectue. Ce qui rend votre chien tel qu’il est déterminé par sa race, son patrimoine génétique mais également par son environnement, ses interactions avec le monde extérieur et par vous.
Vous avez donc une grande responsabilité auprès de votre ami à quatre patte, et cela dès son plus jeune âge.
Le chien voit son maître comme son père, sa mère, son ami mais aussi et surtout comme son leader, son Alpha. Le chien se développe au sein d’une meute et reproduit ce schéma hiérarchique dans ses interactions. Il faut que le chien voit son maître comme son chef de meute.
Cela ne signifie pas qu’il faut lui crier dessus ou le brutaliser ! Au contraire, c’est par l’énergie du maître, son langage corporel et son ton de voix qu’il indique au chien sa position de leader du groupe et la place du chien au sein de la famille.
Par contre, c’est également le rôle du maître de donner des consignes claires et parfaitement compréhensibles pour le chien, ainsi que d’être constant dans ce qu’il autorise et ce qu’il interdit.
Vous respectez votre chien en tant que tel et il vous respecte en respectant votre rôle de leader. Ce respect mutuel permet de montrer également la confiance que vous avez entre vous et développer une belle complicité.
Chez Combe Delacquis, nous apportons une grande importance à la place du jeu chez le jeune chien ainsi que le développement de la complicité et le respect entre le chien et l’homme.
O’iris nous montre bien à quel point ces points sont importants : elle est épanouie et heureuse, et rien ne nous fait plus plaisir !